Association d’échanges interculturels, J&R permet à des personnes venant des quatre coins du monde de se rencontrer dans un environnement nouveau, autour d’un objectif commun : apprendre à vivre et à travailler en groupe, en contribuant à un projet de développement local.
À travers de multiples thématiques (protection de l’environnement, rénovation du patrimoine, animation avec des enfants, accompagnement de personnes âgées…) et grâce à son réseau de 213 partenaires, Jeunesse et Reconstruction propose tout au long de l’année de voyager de manière originale en s’engageant sur des projets de court, moyen ou long terme, un peu partout dans le monde. Toutes générations confondues peuvent trouver leur coup de cœur parmi les chantiers adolescents, jeunes (18-26 ans) et adultes.
La découverte de nouvelles cultures et les échanges avec la population locale constituent une expérience très enrichissante et également une bonne (et belle) leçon de vie.
Jeunesse et Reconstruction compte plus de 100 000 participants depuis sa création, gère plus de 2500 projets dans 88 pays et organise chaque année environ 60 chantiers en France. En 2012, J&R a envoyé 698 volontaires dans 62 pays et a accueilli en France 625 volontaires de 32 nationalités.
« La cohésion au sein du groupe était vraiment là et ce fut un plaisir de travailler et vivre tous ensemble. La répartition entre temps libre, activités et travail était bien équilibrée. Être souriant, ouvert et humble permet d’envoyer un message positif, quelque soit la barrière de la langue. Il est, je crois, primordial,de savoir ‹ rester à sa place › : il est important de faire ce pourquoi on est là, écouter et donner de la joie aux autres, participer à la vie de groupe, mais il ne faut pas croire que l’on va sauver le monde ou changer la vie des gens sur place. »
Jean-Christophe, 27 ans, volontaire au Vietnam
« Ce fut une expérience hors du commun et véritablement exceptionnelle. Une très belle leçon de vie. C’était la première fois que je partais en chantier et cela m’a décidé à en refaire un dès que j’en aurai à nouveau le temps. C’était, par moments, assez dur car les conditions de vie africaines n’ont strictement rien à voir avec les nôtres et comme on est tous logés à l’enseigne locale, eh bien, on doit s’adapter. Mais c’est ce qui fait, je pense, le caractère unique de ce chantier. »
Gauthier, 20 ans, volontaire au Togo
Share on Facebook | Pin It! | Share on Twitter | Share on Google+ | Share on LinkedIn |